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Chronos

  • 30 août 2008
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  • J'ai la même chose et apparemment, c'est le cas d'un paquet de monde après passage au noyau 2.6.24.4-64. J'ai cru d'abord qu'il s'agissait de la mémoire allouée à la carte graphique mais dans le BIOS, il y en a 64Mo et aucun changement de cette valeur ne fait disparaître le message. Mes propres recherches m'ont amené à la conclusion qu'il faut s'en foutre complètement vu que ça ne change rien au comportement de la machine. D'où vient le problème, là par contre, mystère complet.
  • J'ai lu (sur linuxfr.org je crois) que le nouveau noyau contiendrait pas mal de nouveaux drivers intégrés dont certains pour du matériel Atheros mais sans beaucoup plus de précisions. Quelqu'un en sait-il plus ? A priori cela rendra obsolète l'usage des drivers "externes" madwifi, exact ?
  • Je m'auto-réponds parce que j'ai trouvé l'explication du truc : gdmsetup cherche à inscrire ses modifs dans un fichier /etc/gdm/gdm.conf. Or ce fichier n'existe pas. Les valeurs par défaut sont placées dans /etc/gdm/defaults.conf et les valeurs modifiées dans /usr/share/gdm/custom.conf. Apparemment, le problème viendrait d'un conflit de version, le fichier gdm.conf n'existant plus et gdmsetup est obsolète avec les versions les plus récentes de gdm. Je suis peut-être en train de dire une grosse connerie mais l'enquête se poursuit. En tous cas, en allant modifier directement le fichier custom.conf, ça marche et les modifs sont conservées à travers le redémmarage.
  • Chose bizarre : quand je fais des modifs sur l'aspect de la fenêtre de connexion ave gdmsetup, les modifs ne sont pas enregistrées : tant que gdm tourne, tout va bien. Si je ferme la session, j'arrive sur l'écran de connexion avec les modifs que j'ai apportées (par exemple, le message de bienvenue). Si par contre, je redémarre le PC, la fenêtre de connexion a repris son aspect par défaut. Encore plus fort, si je retourne ensuite dans gdmsetup, le bouton radio du message de bienvenue est toujours sur "Personnalisé" mais le texte est revenu à "Welcome" (alors que, encore une fois, le message effectivement affiché était "Bienvenue" in french in the text).
    Tout ce passe comme si les modifs étaient enregistrées en mémoire mais pas dans un fichier de configuration. Dès que gdm redémarre, boum, toutes les modifs apportées sont perdues.
    Les données enregistrées dans gdmsetup semblent complètement ignorées : la case "inclure l'élément de menu Configurer" est cochée (et le reste) mais la fenêtre de connexion ne contient pas l'élément de menu Configurer. Etc.

    Qu'est-ce que j'ai raté ?
  • Tu n'as peut-être pas besoin d'activer ntpd alors, juste un petit "ntpdate" de temps en temps.
    Ok, ntpdate est effectivement ce dont j'avais besoin.
    Pour ce qui est de lancer la commande périodiquement, rajouter cette ligne dans /etc/anacrontab fera l'affaire :
    @monthly     10     nom_de_tâche     ntpdate nom.du.serveur
    Là, chaque fois que je démarre le PC, anacron se lance, vérifie si ntpdate a été exécuté dans le dernier mois et si ce n'est pas le cas, exécute la commande "ntpdate nom.du.serveur" 10 minutes plus tard. J'ai bon ?
  • Je suis un peu perdu avec l'utilisation de ntpd. Si j'ai bien tout pigé ce que raconte la doc, c'est un service à la fois client et serveur qui se synchronise avec un serveur NTP distant puis permet à d'autres ordinateurs de se synchroniser avec lui.
    Déjà, à quel moment ntpd cherche-t-il à contacter le serveur ? A chaque démarrage ? Une fois par mois me suffirait amplement... Peut-on configurer cela ? Le fichier ntpd.conf semble ne contenir que la liste des serveurs utilisés. Le service ntpd doit-il obligatoirement être démarré au lancement de fedora puis rester actif pour cela ? Je n'ai pas besoin que mon PC fasse à son tour office de serveur (personne ne se connecte dessus pour ça.) Ou existe-t-il un programme plus simple qui fasse juste connexion-synchronisation-déconnexion suivant une période paramétrable ? (mettons un mois donc, par exemple).
    Ou peut-on configurer ntpd pour obtenir ce que je veux de manière simple et si oui comment ?
    Quand je fais un ntpstat, j'obtiens une réponse du genre "unsynchronized, polling server every 64 sec". Cela est suite à une tentative ratée de connexion au serveur ou est-ce qu'il se resynchronise vraiment toutes les 64 secondes ? Je suppose raisonnablement que la première solution est la bonne mais je préfère demander.

    Merci d'avance pour tout éclairage de lanterne.
  • Je trouve l'article de Clubic n'est ni vraiment bon, ni vraiment mauvais, juste un peu insipide; ça ressemble comme déjà dit à un papier torché en deux minutes où on fait gaffe à mettre autant de pour que de contre pour finir sur une note consensuelle et sans risque du genre "bien que Linux ne soit encore à metrre entre toutes les mains bla bla il est clair que le potentiel est là bla bla Linux vaut le coup d'oeil même si vous n'avez pas l'intention de vous y mettre bla bla Windows c'est trop cool, Linux c'est trop cool, tout le monde il est beau tout le monde il est gentil". Pas de quoi en faire un coup d'état.
    Un peu surprenant aussi. Quand j'ai installé Linux pour la première fois, je n'y connaissais que dalle, je me suis contenté mollement de suivre les instructions du programme d'installation et je n'ai eu aucun des problèmes dont il parle. Bon.

    De Chiron :
    Je bosse dans une grosse SSII et quand je me suis aperçu que les applis web que nous utilisons pour poser les congés, site du comité d'entreprise, etc... ne fonctionnent que sous IE, j'ai posé la question en réunion DP (je suis délégué du personnel).
    La réponse a été: "l'environnement officiel de l'entreprise est MS windows". J'ai ensuite demandé si la Direction était en mesure de financer l'équipement en MS windows des salariés utilisant linux ou mac, j'attends toujours une réponse.
    C'est débile.
    Je bosse dans une SSII aussi (mais petite). Autant pour le coeur du boulot proprement dit, pour les fichiers auxquels tout le monde accède en lecture et écriture, on demande aux employés d'utiliser le même outil (Windows XP et le Visual Studio pour l'organisation des projets par exemple), ce qui est normal si on veut éviter que ce soit le foutoir en plus d'un case-tête pour la maintenance, autant, pour les outils annexes comme la rédaction de notes techniques, la rédaction des codes chacun fait comme il veut dans son coin. On est même depuis peu encouragé à utiliser OpenOffice pour économiser le prix des licences MS Office.

    De Kenshin :
    Et il faut savoir que le premier Windows, c'était pas du "user-friendly" comme aujourd'hui. (Et encore, apprendre à un neophyte à se servir de GNU/Linux ou de Windows, ça revient au même). Le premier Windows, c'était des commandes MS-DOS à foison
    C'était très exactement ce que son nom indique, une fenêtre, une interface graphique minimale pour rendre le DOS un peu moins imbuvable dans le cadre de la puissance des PC de l'époque.
  • J'ai eu le même souci. Je pensais que cela venait d'une installation foireuse de madwifi (une mise à jour précédente avait posé problème) mais apparemment non. La méthode bourrine marche pour résoudre le problème :
    1) Fais dégager kmod-madwifi et ses dépendances : yum remove kmod-madwifi. Boum.
    2) Il se peut que ndiswrapper pose le même problème s'il est installé sur ton PC. Dans ce cas, même traitement : yum remove kmod-ndiswrapper. Boum.
    3) Lance pup et installe toutes les mises à jour que tu veux dont le dernier noyau (2.6.4.24-64 me semble-t-il).
    4) Redémarre (puisque mise à jour du noyau).
    5) Réinstalle ce que tu as viré : yum install kmod-madwifi, et éventuellement : yum install kmod-ndiswrapper
    Et ça doit marcher.
  • Les 3 IDE tournant sous Gnome les plus répandues sont Eclipse, Code::Blocks et Anjuta.
    Anjuta me parait un peu léger. Ce peut être un avantage. Quand je l'avais installé, il n'y avait pas moyen de le configurer correctement (il manquait des menus !) J'ai bazardé le truc avant d'avoir envie de me fatiguer à chercher l'explication.
    Eclipse est de loin l'IDE le plus abouti et proche du Visual de Microsoft et ce devrait être un plaisir de bosser avec mais il est d'une lourdeur épouvantable. A n'utiliser que si ton PC est une bête de course. Chez moi, même en virant tous les plugins qui ne sont pas strictement nécessaires (en ne laissant que le Cdt pour coder en C/C++), c'est une vraie brouette. Il n'y manque que des poignées pour le pousser. Quand Eclipse tourne, le processeur est immédiatement blindé et le disque dur souffre le martyr. Je songe à l'achever, la pauvre bête.
    Code::Blocks est le meilleur compromis. Quand on est habitué au Visual, on s'y retrouve sans problème. Il y a eu un truc assez bizarre chez moi : il détecte le compileur dans un dossier qui n'existe pas alors qu'il se trouve dans un autre. Il suffit de renseigner le bon chemin et ça roule.
    Pour faire des applications Gnome avec les bibliothèques GTK, tu peux utiliser le concepteur d'interface graphique Glade mais il est fourni avec son lot d'emmerdements. S'il génère sans problème du code C, je n'ai jamais réussi à lui faire cracher du code C++ alors qu'il est sensé pouvoir le faire indistinctement.
  • Hmm.
    Bon, j'ai un peu avancé sur mon problème pour ce qui concerne le service Samba et la connexion aux PC tournant sous Windows puisque je peux maintenant les voir. Mais je verrai ça plus tard.
    Je reviens à mon histoire de routeur en essayant de reformuler mon problème pour être peut-être plus clair :
    Le nom de la machine sous Linux du type "nom_de_hote.nom_de_domaine" est attachée à l'interface loopback 127.0.0.1. Cela apparait clairement dans le fichier /etc/hosts

    1) Est-il possible de définir un nom d'hôte (le même ou différent) pour une autre interface (ex : carte réseau) dont l'adresse IP est attribuée dynamiquement et qu'on ne connait donc pas à priori ? (impossible de l'inscrire "en dur" dans /etc/hosts) ? Si oui, comment faire ? Ou cela devrait-il ne pas être nécessaire, un PC devant toujours apparaitre sur le réseau avec le nom correspondant au loopback ?

    2) Est-il absolument nécessaire d'établir un nom de domaine sur un réseau ? Un suffixe DNS pour chaque machine ? Si ce suffixe DNS diffère d'une machine à l'autre, est-ce grave ? (on va en taule ?) Sous Windows, il existe une distinction entre un "domaine" et un "Workgroup". Une telle chose existe-t-elle avec Linux et si oui, en quoi consiste-elle en deux mots ?

    3) Est-ce que je fais encore complètement fausse route ?

    Merci d'avance pour votre patience. 🙂
  • Dans /etc/hosts tu dois mettre le nom de host pour ton adresse IP locale 192.168.x.y ou 10.x.y.z ou ...
    Peux-tu faire
    uname -n
    uname -n me donne le même retour que hostname, de la forme "nom_de_hôte.nom_de_domaine"
    Si ton PC est vu par d'autres ordinateurs, ne serait-ce pas des Micro$oft utilisant voisinage réseau en NetBios ? Dans ce cas c'est samba et nmbd qui peuvent annoncer le nom NetBios vers le réseau Micro$oft.
    Oui mais ça à la limite, c'est sans importance. Le routeur lui (un NetGear DG834) me détecte comme UNKNOWN alors que les PC tournant sous Windows sont correctement détectés avec le nom défini pour l'ordinateur sur chacun d'eux...
  • et je n'oublie pas de le mettre aussi dans /etc/hosts.
    OK, ça j'avais trouvé en continuant à fouiller dans mon coin. Mais cela ne permet de définir un alias que pour l'adresse du loopback (127.0.0.1) exact ? Sur d'autes ordinateurs du réseau (et sur le routeur), mon PC est toujours vu sous le nom "UNKNOWN".
    J'imagine que je pourrais le forcer en modifiant /etc/hosts pour une adresse IP donnée mais je suis connecté à un routeur qui attribue cette adresse par DHCP. Elle peut donc changer d'une session à l'autre...
  • Comment définir le nom de l'ordinateur sur le réseau et le nom de domaine, que j'avais laissé en "localhost.localdomain" lors de l'installation ? La commande "hostname" ne permet de définir ces identifiants que pour la session en cours, exact ? Comment les définir de manière permanente ? La doc de hostname suggère que ces noms sont inscrits dans un script exécuté au démarrage mais je n'ai pas trouvé le moyen de l'éditer 🙁
    Mon PC est connecté à un réseau Windows, ai-je raison de supposer que le nom de domaine doit correspondre à celui du domaine Windows (genre WORKGROUP ou MSHOME) ?

    Il y aura surement des questions subsidiaires mais merci d'avance pour ces quelques premiers points.
  • Etant nouveau et pas très expérimenté, je peux confirmer que Fedora est stable et contrairement à ce qu'on peut entendre ça et là, elle est abordable pour quiconque a envie de s'y mettre
    Pareil chez moi.
    Par rapport à Ubuntu que j'avais testé précédemment, Fedora n'est peut-être pas aussi intuitif et "user-friendly" - si on peut qualifier de "user-friendly" l'interface marron et l'espace disque bouffé par les interviews de Nelson Mandela 🙂 - mais il n'y a pas non plus besoin d'être le roi du Linux pour s'en servir. Un minimum de curiosité suffit pour que ce soit tout à fait accessible. On peut même considérer comme un avantage l'obligation de creuser un peu pour le paramétrage des éléments les plus subtils (le wifi au pif). Question de goûts.
    Aucun problème de stabilité avec la WereWolf sur mon Aspire 5100. Ceci dit, je ne me précipiterai pas forcément sur Fedora 9 quand il sortira.

    Une chose quand même : KDE peut se révéler être une source de déceptions. Pas de "vrais" bugs, mais des petits emmerdements comme le montage des disques externes moins simple que sous Gnome, des bricoles de ce genre. C'est assez frustrant parce que l'interface est plus aléchante que Gnome mais si c'est la stabilité que tu dis rechercher, je pense que Gnome est préférable, au moins dans un premier temps : Fedora 9 devrait inclure KDE 4 avec choix de l'interface au moment de l'installation.
  • Suggestion peut-être idiote mais qui ne coûte rien : fais-tu ton install avec une connexion internet active et et le téléchargement de paquets pendant l'installation avec sélection de dépôts supplémentaires ? J'avais eu des misères à cause de celà mais qui ne se sont pas produites quand j'ai effectué l'installation uniquement avec le DVD et une le PC décconecté de tout réseau (quitte à faire les mises à jour après coup.)
  • Ce qui semble dommage, c'est la motivation "c'est gratuit' ou c'est sans license (d'abord il existe différentes licences GNU. ...) Mais linux n'est pas que gratuit il est avant tout OpenSource., mais en utilisant des logiciels gratuits on peut graduellement s'habituer à la notion d'OpenSource et donc de transparence (en russe 'glasnost') , mais ceci semble être une autre affaire et déborde du cadre de ce forum.
    Oh, d'après l'article, l'aspect OpenSource est un argument (quand le patron d'Armada compare Linux à des Lego). Par ailleurs, connaissant le fort penchant de la mentalité russe pour le bricolage, le bidouillage avec des bouts de ficelles et l'improvisation, je ne doute pas une seconde que ce soit encore cet aspect des choses qui ait le plus de succès là-bas. 🙂
  • http://www.russiatoday.ru/news/news/22094
    Linux sera le système utilisé par les écoles de trois régions russes d'ici 2009 et si l'expérience est concluante, le principe sera appliqué à l'ensemble du pays en 2010.
    Ce truc est à mon avis à suivre pour deux raisons : la première (et c'est je pense ce qui motive d'abord les autorités russes dans cette décision) est que la Russie est comme chacun sait le royaume du piratage. Elle se fait régulièrement taper sur les doigts par l'OMC à cause de cela. Encourager le développement du logiciel libre est un bon moyen de résoudre le problème, plus simplement qu'en collant des procès à tous les guignols qui utilisent une version piratée de Windows (il y a peut-être également le souci de ne pas voir une compagnie américaine comme Microsoft trop puissante sur le territoire russe.) Je ne serai donc pas étonné que le domaine de l'éducation ne soit qu'un premier pas et qu'à terme, par "contamination", la Russie devienne le paradis du logiciel libre.
    La deuxième chose est que les russes ont des écoles d'informatique de très haut niveau (en particulier celle de Novosibirsk autour de laquelle s'est construite ces dernières années un pôle technologique qui n'a rien à envier à la Sillicon Valley américaine) et que leurs diplômés sont plus que parfaitement qualifiés. Ce premier mouvement au niveau administratif peut générer un "cercle vertueux" qui verra pousser les SSLL comme des champignons sur un marché gigantesque et faire connaître au libre un essor très important à terme. A voir mais je pressens que nous n'allons pas tarder à entendre parler des premières distributions russes de Linux et voir débarquer des pingouins avec des chapkas. Je copie-colle l'article ci-dessous des fois qu'il ne reste pas longtemps sur le site de RT.

    ********************

    Down with Windows! Russian schools turn to free software

    A free online alternative to the Windows operating system is set to be introduced in schools in three Russian regions by 2009. If the pilot project proves successful, all schools across the country will make the switch a year later.

    Linux is a piece of open source software, free online to anyone who wants it, and Russian schools are switching to it to save cash.

    Using pirate software is common in Russia and for schools who need word processing, the alternative is to pay Microsoft over a hundred dollars for every computer.

    Aleksandr Ponosov, a former headmaster in the Perm Region, is a strong supporter of the move. He was prosecuted for using a pirate version of Windows on the school's computers.

    "The problem that I've faced threatens most of my colleagues across Russia. The use of pirate software is common. And often there's no choice. So I've started a non-profit organisation to tell everyone about the advantages of free software," Aleksandr Ponosov explained.

    And some experts say that Microsoft faces a major challenge as more people move towards free software.

    But Microsoft remains positive about its market leading position.

    "We are glad that people will have a possibility to choose different operating systems. But we try to make our product the best one. We want to make it easier for the user to realise one's potential. And perhaps this is the most important for schools," said Vladimir Gabriel from Microsoft Russia.

    The Armada Company is the main developer of Linux in Russia. It recently won the right to introduce the software in schools.

    It believes working with an alternative programme has major advantages.

    "Linux could be better for teaching children at school. The programme consists of multiple blocks like LEGO. It's open for everyone to see how it works. And the pupils can even learn how to modify such programmes," said Igor Gorbatov, Armada deputy general director.

    Russia isn't the first to look at this open source operation system as a classroom alternative.

    Some schools in India, France and even in the U.S. are already using Linux.

    Teachers and pupils are quite positive about the innovation.

    "I didn't work with Linux myself. But I have friends of my age that use it. They say that Linux is much more comfortable. But adjusting many programmes to it could be a big problem," said Roman, a pupil.

    "I've tried the programme. It's a bit difficult to switch over immediately, because we all grew up using Windows. But it's just a matter of experience," believes Elena Nedelina, a teacher.
  • Pour ne pas perdre cette précieuse minute au démarrage (je me moque pas, c'est vrai que c'est chiant) il suffit que tu ailles faire un tour dans "system-config-network", en root et tu verras, ca parle tout seul...
    * Bing *
    Le plus beau, c'est que j'avais déjà été voir là-dedans et que je n'avais même pas vu la case "Activer le périphérique au démarrage" à décocher. Bien, ça, c'est fait.
    Toutefois ta carte wifi n'est pas installée, si tu désires le faire bien que tu n'ais pas de wifi chez toi, il nous faudra connaitre le type de ta carte, si tu veux de l'aide a ce niveau... Vu le type de ta machine, je parierai sur une Atheros et je pense que tu devrais t'en sortir tout seul en cherchant un peu sur le forum et dans la doc....
    Oui, c'est une Atheros et effectivement, elle ne semble pas installée bien que détectée correctement. Je vais creuser ça. Merci pour les conseils !
  • Bon, OK, je ferai plus, promis.

    Je débarque ici après avoir lurké quelques temps comme le veut l'usage. Mon boulot m'amène à bosser sur Linux et j'en ai profité pour l'installer chez moi, histoire de me familiariser avec le système. Je ne suis pas exactement un newbie complet puisque j'ai travaillé autrefois sur des stations Solaris qui tournaient sous Unix à la philosophie voisine et que j'avais déjà mis le nez dans diverses distributions de Linux : Mandriva m'avait laissé un souvenir passablement catastrophique avec le plantage systématique de KDE et Ubuntu, bien que fonctionnel ne m'avait pas spécialement emballé, ne m'apportant rien à part une interface hideuse.
    Je tente donc ma chance avec Fedora 8 que j'ai installé sur un portable (Acer Aspire 5100). Aucun problème d'installation mis à part le fait que je me suis laissé embringuer dans la création d'un LVM avant de le regretter en découvrant que gParted ne le gérait pas. Ne voulant pas m'emmerder, j'ai reformaté et recommencé avec un partionnement "classique" boot-swap-home. Tout marche au poil.
    Aucun problème d'installation /mise en route que je n'ai pu résoudre par les mises à jour, en lisant le mode d'emploi (merci aux rédacteurs du guide au format PDF, très utile) ou tout simplement en tâtonnant et en bidouillant à la ligne de commande. Il me reste actuellement un problème mineur : mon PC dispose de deux cartes réseau, une ethernet et une wifi. Au démarrage, au milieu du paramétrage du système, Fedora tente de définir l'adresse IP de chaque carte. Aucun problème pour la carte ethernet. Par contre, il ne parvient pas à le faire pour la carte Wifi. Rien d'étonnant en soi, vu que je n'ai pas de réseau Wifi. Visiblement, la commande sort en timeout et me sort un "[ECHOUE]" après une petite minute d'essais. Plusieurs choses :
    - En ce qui concerne le wi-fi proprement dit (j'aurai pu aussi poser la question dans la section dédiée, mais je compile) : bien que n'ayant pas de réseau Wifi, Windows ou Ubuntu me détectent automatiquement celui des voisins. Notez que je me fous du réseau Wifi des voisins mais si d'aventure je devais installer un Wifi chez moi, cette détection automatique serait bien utile. Ais-je zappé quelque chose ? Cette tentative de détection doit-elle être faite manuellement ?
    - Pour l'instant, le truc emmerdant, c'est donc cette minute à attendre au démarrage : comment "désactiver" la carte reseau wi-fi pour signaler au système de ne pas essayer de la configurer ? Est-il possible (j'imagine que oui) de modifier la liste des paramètres à établir au lancement pour, par exemple supprimer cette instruction de "définition des informations IP" et comment faire ?

    Merci d'avance.