tobi1canobe wrote:avec selinux en permissive (man setenforce) et ton mount bind fait, un
restorecon -r /home devrait te remettre les labels qui vont bien.

C'est noté

tobi1canobe wrote:Si les autres distributions aprecient est une autre question
Tobias

Pourquoi cette remarque ?

Merci de l'info

pingou wrote:Je suis sûr qu'il y a un moyen de lui dire gentiment 😉

Si vous avez des pistes pour ça, je suis preneur, pour le jour où je vais réactiver SELinux.
Pour l'instant, ça me va comme ça.

@chicha :
C'est bien SELinux qui causait problème, je l'ai désactivé via /etc/selinux/config et tout est rentré dans l'ordre, je verrai plus tard si je le remet ou pas, enfin quand j'aurai un système stable 🙂

@bioinfornatics :
Je n'ai pas un home pour plusieurs distro, je connais bien les dangers d'une telle pratique (et suis bien au courant de tout ce qui est configuration personnelle, j'ai d'ailleurs une politique vis à vis de ça aussi, mais c'est une autre histoire). En fait j'ai une double indirection :

mon home monté depuis mon /data/riri.fedora
mes répertoires de données lié depuis /data/riri.data/* : par exemple dans /data/riri.fedora j'ai le lien images qui pointe sur ../riri.data/images (j'ai également un lien /home/riri.data -> /data/riri.data pour utiliser les liens relatifs de /home/riri ou de /data/riri.*)
j'ai également mon home pour les autres systèmes, /data/riri.arch64, /data/riri.test, enfin tu vois le principe.

Cela me permet de toujours conserver mes home si je change d'avis et de migrer mes configs en toute tranquilité, en allant taper dans l'ancien. Cela peut paraître compliqué mais c'est limpide pour moi et j'aime cette organisation 🙂

Salut

J'ai l'habitude de monter mes données depuis une partition de données elle-même montée. Cela donne ceci :

/dev/<partoche distro> -> / (ext4)
/dev/<partoche de données> -> /data (ext4)
/data/riri -> /home/riri (none, option bind)

mais aussi :
/data/www -> /srv/www (none, option bind)
...

Mais voilà, avec Fedora, que je viens d'installer, et j'imagine à cause de SELinux, cela ne marche pas, car le /home/riri n'est apparemment pas visible, et je me retrouve sans home (ou plutôt avec /, ce qui revient au même). Savez-vous comment gérer cela sans remettre en cause mon organisation des montages ?

Merci d'avance

Salut. Un nouveau venu sur Fedora 🙂

- Méthode d'installation :

CD Live x86_64 (Gnome), sur une partition unique.

- Problèmes majeurs :

Aucun

- Soucis mineurs :

Lors de l'exécution du LiveCD, j'ai modifié ma langue, mon agencement clavier et mon timezone. L'installeur n'a pas aimé et plantait sur le fait qu'il essayait de copier un fichier (/etc/localtime) sur lui-même. Après avoir relancé le LiveCD et en lançant l'installation sans modifier la config de localité, c'est passé.

- Points positifs :

Installation sans souci. Avec les notes concernant le driver radeon et le mesa dri expérimental, j'arrive enfin à avoir des perfs correctes sous Xorg avec le driver libre (première distribution/version dans mon histoire pour laquelle cela fonctionne avec ma carte, une Radeon HD 2400 Pro).

J'avais rapidement essayé Fedora 10, et je trouvais yum trèèèès lent. C'est désormais acceptable (toujours moins rapide que pacman que j'utilisais sous arch, mais néanmoins, il y a un gros boulot de fait, et les améliorations sont réellement visibles).

- Points négatifs :

L'interface graphique de yum pas très pratique (cela ressemble un peu trop au gestionnaire de paquets simplifié sous Ubuntu, trop madame Michou). Il faut que je m'habitue à yum aussi (j'ai un gros apriori sur le rpm). Ce n'est pas vraiment un point négatif, mais il fallait bien que je trouve quelque chose 🙂

Conclusion

Ma précédente tentative sur Fedora a duré 2 jours. Apparemment, cela va dans le bon sens, et la philosophie du projet me correspondant totalement, possible que je me stabilise dessus, à voir dans les prochains jours ou les prochaines semaines 😉