Ambelliance

  • 20 janv. 2011
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  • D'un autre côté, le timeout de 5 sec. lui laissait le temps d'appuyer sur une touche au démarrage pour faire venir le menu du grub 😉

    On peut présumer qu'il le savait puisqu'il nous disait bien que ça redémarrait au lieu de lancer windows...
  • C'est marrant - si j'ose dire - le problème décrit me rappelle quelques unes de mes mésaventures...
    Sauf que j'ai l'impression que je ne peux pas aider 🙁
    Les dernières ayant conduit à des réinstallations complètes de Windows et Fedora.

    Sur la question de savoir si la partition windows doit être amorçable, ma réponse est négative (du moins avec un bon vieil XP).
    Maintenant, ça ne coûte peut-être rien d'essayer.

    Qu'il y ait moyen de faire tourner Windows sur d'autres partitions que la hd0,0 je n'en disconviens pas...
    Par contre, de mon expérience, XP supporte très mal que l'on touche aux partitions qui le précède. Si la partition sur laquelle il est installé change de numéro, ça ne boote plus.

    Comme notre ami a de l'espace non alloué justement devant sa partition windows, je me demande si il n'y pas eu suppression ou ajout de partition devant celle de windows ?

    Pour ma part, comme je n'utilise plus windows que pour m'amuser, une petite partition suffit et donc je lui réserve systématiquement la partition hd0,0 et, depuis, je n'ai plus aucun problème de cohabitation !
  • Bioinfornatics, j'adore ton trait d'esprit sur les sources de programme en D :lol:

    Plus sérieusement, voici la raison qui m'a amené à me poser cette question sur le ".d" même si elle peut sembler futile.
    J'ai rédigé quelques scripts en bash et en php qui utilisent des inclusions et des fichiers de configuration.
    Comme c'est de l'automatisation de tâche purement perso (et parce que je faisais mes premières armes), j'ai un peu travaillé comme un cochon. C'est à dire que j'ai créé des répertoires, je les ai nommés un peu n'importe comment, j'ai pas mis assez de commentaires dans mes scripts, etc.

    Bref, tout allait bien tant que tout ça était frais dans ma mémoire.

    Suite à un renouvellement de matériel, j'ai récemment dû transporter ces scripts sur une nouvelle machine.
    Et, là, j'ai évidemment eu quelques mauvaises surprises !

    Pour ceux qui ont fonctionné directement, pas de problème...
    Pour ceux qui ont coincé, je me suis rendu compte que l'absence d'une structure constante et cohérente avait sérieusement compliqué les choses (m'amenant à des relectures en profondeur).

    Du coup, je me suis dit que je devais réorganiser tout ça.
    Et il m'a paru évident qu'il était plus économique et plus logique de travailler suivant les conventions qui existent déjà plutôt que de développer mon propre système de conventions.


    Plus spécifiquement, concernant les dossiers ".d", l'observation montre en effet que, le plus souvent, il s'agit de répertoires contenant des inclusions pour un fichier de configuration.
    Nous devinons tous +/- le sens de la convention.

    Pourquoi au-delà de son sens, je me suis interrogé sur son origine ?
    C'est car au-delà du simple intérêt historique (qui à lui seul en vaut déjà la peine), savoir ce que le ".d" signifie, d'où ça vient, c'est une façon de fixer les choses dans sa mémoire.


    De ce que je peux déjà lire comme réponses, j'ai le sentiment que cette convention a des origines multiples et qu'il y a eu des phénomènes d'imitations entre les différents projets et développeurs.

    C'est une excellente idée, greg0ire que d'avoir posé la question sur un forum anglophone 😉

    De l'ensemble des réponses à cet instant, j'ai le sentiment que "Distributed" et "Directory" soient les explications les plus rationnelles et les plus plausibles.

    "Daemon" me semble plus douteux et me semble plutôt être une confusion avec une autre convention classique qui consiste à terminer le nom d'un exécutable par "d" lorsqu'il s'agit d'un démon (httpd, named... )

    Merci à tous pour vos réponses !
  • J'y avais pensé également au départ, mais cela me semblait moins cohérent avec des répertoires comme profile.d ou sane.d

    J'espérais trouver la réponse dans la FHS, mais à moins d'être passé au-dessus, je reste pour l'instant bredouille 😃

    Merci pour ton intervention, avec un peu de chance on va voir si quelqu'un confirme ou non 😉
  • Bonjour à Tous,

    Pas évident de trouver la réponse à cette interrogation en utilisant les moteurs de recherche...
    Comment voulez-vous faire une recherche avec une seule lettre :lol:

    Comme il y pas mal de linuxiens de longue date ici, je tente ma chance :
    Que signifie le ".d" qui se trouve à la fin de certains répertoires dans /etc/
    (profile.d, init.d, yum.repos.d) ?

    Je suppose que c'est l'initiale de quelque chose.
    Intuitivement je me serais dit : "Directory", mais plutôt qu'une supposition, je préférerai avoir une certitude 😉

    Si quelqu'un peut m'éclairer...
  • Fifi wrote:Un belge sous Gnome aurait-il eu aussi ce problème ?
    Là je peux répondre, en tout cas pour la FC 13.
    Apparemment, le problème ne se pose pas avec GDM.

    De mémoire, j'ai eu le même gag lors d'une install de la FC 13 dans une virtualbox / Windows.
    (Parce que je suis habitué à KDE et je décoche donc GNOME lors de l'installation pour ne pas me retrouver avec 36 paquets à mettre à jour régulièrement alors que je ne les utilise pas).

    Ne sachant pas si le problème venait de virtualbox ou d'un paquet que j'aurais trop promptement décoché en cours d'install, j'ai utilisé la méthode gros c** pour résoudre le problème plutôt que de chercher (je sais, ce n'est pas bien) :
    recommencer l'install sans décocher Gnome.

    Quand j'ai redémarré je me suis retrouvé avec un autre écran de connexion que KDM dont je déduis qu'il dois s'agir de GDM.
    Sur ce dernier mon clavier était 100% opérationnel (et, comme dans le monde libre, les choses sont bien faites, il me permettait de démarrer ma session KDE).

    Visiblement, le fait de se retrouver sans clavier sous KDM n'est pas si exceptionnel :
    Bug List
  • Fifi wrote:Heureusement, ce n'est pas trop difficile à corriger...
    Oui et non...
    Ceux qui, comme moi, sont arrivés sous Linux avec les beaux environnements
    graphiques, ne maîtrisent pas toujours l'éditeur vi.
    Je dois avouer que si je n'avais pas pu monter la partition depuis un live USB
    afin de corriger ces fichiers, je serais probablement encore en train de me battre.

    En parlant de corriger, je ne sais si le fichier à problème dépend de Fedora
    ou de KDE, mais est-ce que quelqu'un sait si le problème leur a été signalé de sorte que
    l'on puisse espérer ne plus se sentir amputé des deux mains lorsqu'on installera la FC 15 ?

    Enfin, si le clavier belge a encore un avenir 😉

    Si je ne craignais pas qu'un illuminé régionaliste trouve que ce serait une excellente idée,
    j'oserai peut-être la boutade selon laquelle après la réforme les lettres B-H-V seraient séparées
    (C'est comique parce qu'elles sont justement contigües sur notre clavier). :lol:
  • Visiblement, ce problème avec les claviers belges existe toujours sous la FC 14.

    En effet, suite à une installation depuis un CD minimal boot, je me
    suis, tout comme Fifi, retrouvé sans clavier dès l'arrivée sur le
    gestionnaire de connexion KDM.

    Un grand merci aux intervenants qui ont apporté leurs réponses ci-dessus,
    car en suivant ces explications, je suis parvenu (à l'aide d'un USB-live)
    à corriger le problème.
  • Salut,

    Dans ma série des installations de Fedora qui foirent pour des raisons vraiment nazes, je voulais faire partager aux autres l'expérience suivante.
    Avec l'espoir que cela puisse dépanner quelqu'un qui se trouverait dans le même cas 😉

    Bref, je tente d'installer la FC12 sur une machine neuve (installation sans média depuis HD externe, mais ce n'est pas cela qui entre en ligne de compte).

    L'installation tourne très vite court : dès les premières secondes, mon écran devient noir et son OSD m'affiche joyeusement un message "out of range" avec des indications relatives aux fréquences de rafraîchissement horizontales et verticales.

    Recherche dans la doc.
    J'essaye sans succès l'option VESA et la résolution forcée...
    Par contre avec NOMODESET, l'install commence, mais mêmes symptômes dès le moment où elle devrait passer en mode graphique.
    Bon, il me reste encore la solution de l'installation en mode TEXT, mais pour l'avoir réalisée par le passé sur un eee-pc, cette idée ne m'enthousiasme franchement pas.


    Donc, recherche dans Google et je me demande finalement si le problème ne viendrait pas de mon bel écran 24 pouces ?
    Pour vérifier, il n'y a pas 36 solutions : faut le virer et mettre un autre écran sur la machine... Plus rapide à dire qu'à faire, mais bon, allons-y !

    Je redemarre la machine avec une dalle qui voit défiler des fedoras depuis la version 6... et...
    BOOM, dès les premières seconde de l'installation, l'écran devient noir et le voyant cligote comme s'il était en veille 🙁

    EXIT donc l'écran comme cause de ce cafouillage...


    Si c'est pas l'écran, reste à voir au niveau de la carte graphique : une NVIDIA Geforce GT 220.
    C'est une NVIDIA, mais elle neuve, donc je me dis qu'il se pourrait qu'elle ne soit pas totalement prise en charge.
    Mes quelques recherches me conduisent toutes vers une installation en mode texte ; ce que je préfèrerai autant que possible éviter.

    Tout d'un coup, il me vient une intuition : ayant depuis des temps ancestraux raccordés mes écrans avec le classique câble VGA, sur les classiques connecteurs 15 broches, c'est de la sorte que j'ai branché mon 24 pouces sur la carte graphique, par habitude...
    Et ça marchait très bien avec le Windows 7 venu avec la machine...
    Mais l'écran et la carte graphique possèdent tous deux des connecteurs DVI.


    Cela peut sembler peu logique que cela puisse fonctionner avec le câble DVI, là où ça ne marchait pas avec le câble classique VGA, mais j'ai l'habitude de suivre ce genre d'intuition.
    Je déconnecte le câble VGA, je raccorde l'écran à la machine à l'aide du câble DVI.
    Je rallume la machine et...

    Mon installation de FC12 passe comme une fleur ! :-D
    Et me voici en train d'écrire ce message.

    Stefan
  • Pour ma part, c'est déjà fait 😉
  • Merci beaucoup pour cette formidable initiative !

    J'ajouterai que personnellement, j'ai adoré la série d'avantages offerts par la version imprimée.
    Il y a là-dedans une forme d'auto-dérision qui me plaît énormément :-D

    A en juger par la table des matières, ça à l'air d'un tour d'horizon assez complet !

    Les passages que j'ai survolé m'ont l'air bien écrits, à la fois ludiques, progressifs et pédagogiques.
    La théorie est largement illustrée par des exemples pratiques...

    J'ai l'impression que c'est incontournable pour qui veut (re)découvrir Linux.
    Encore BRAVO 😉
  • Salut,

    Pour avoir tenté moi-même ce genre de manip avec un script BASH, je confirme que c'est une horreur à faire.

    Si tu es plus familier avec le langage PHP (ce qui est souvent le cas de ceux qui gèrent des sites web), je peux peut-être te suggérer une autre piste.

    Tu peux faire des scripts PHP qui s'exécutent en ligne de commande :
    tu commences le fichier par
    #!/usr/bin/php
    <?PHP
    et tu les termines, comme tout script PHP par un
    ?>
    Voir : PHP en ligne de commande

    Tu peux prendre en entrée de ton script un nom de fichier comme argument (voir tableau $argv[] dans page du manuel PHP dont question ci-dessus)

    A partir de là, tu disposes de toutes les possibilités du PHP !
    Dont les commandes preg_replace et preg_quote (gestion des expressions rationnelles) avec lesquelles tu es peut-être déjà famillier ?

    Ton code nettoyé peut être renvoyé vers la sortie standard ( fwrite(STDOUT... ) ou vers un fichier.

    Personnellement, c'est une solution que j'ai déjà utilisée et ça fonctionne...


    Ceci dit, utiliser un script pour faire ce genre de chose n'a d'intérêt que si tu effectues ce genre de remplacement très régulièrement.

    Une application comme KFileReplace prend en charge les expressions rationnelles et pourrait peut-être suffire pour venir à bout de ton problème si tu ne dois effectuer le travail qu'une seule fois 😉


    Bon courage !
  • Hello,

    Je me glisse dans votre discussion pour rappeler quelques principes en matière de conception web.
    car contrairement à ce qui est affirmé Firefox prend bien en charge la fonction javascript window.close()
    Seulement, il le fait uniquement où cela à un sens et c'est pertinent 😉

    Dans des conditions normales, ce n'est pas le webmaster qui doit s'occuper de la fermeture de la fenêtre en cours sur le navigateur du client.
    Car c'est prendre le pas sur les décisions / besoins du visiteur...
    En conséquence, cette pratique n'est pas recommandée.

    La seule exception à ce principe, c'est lorsqu'un (java)script ouvre une nouvelle fenêtre.
    Il est en effet logique que le script qui l'a ouverte soit en mesure de fermer cette nouvelle fenêtre (où que celle-ci puisse être fermée par l'intervention du visiteur).

    Firefox suit cette logique.
    C'est pourquoi window.close() semble ne pas fonctionner.
    Il est désactivé car lancé par une fenêtre qui n'a pas été ouverte par window.open()

    Suivant le contexte qui nécessite la fermeture de la fenêtre, tu as donc plusieurs choix possibles.

    Soit tu ouvres une nouvelle fenêtre de navigation avec un javascript window.open() que tu pourras ensuite fermer avec window.close() lorsqu'elle ne sera plus utile.

    Soit tu remplaces le contenu de la fenêtre que tu souhaitais fermer en modifiant window.location pour afficher un message comme quoi l'action demandée a bien été exécutée (ou non).

    Cela me semble plus propre que d'essayer de fermer abruptement le navigateur du visiteur, non ?
  • Personnellement, j'ai déjà mis en place des triples amorçages WinME, WinXP & fedora à l'aide du GRUB.

    Je peux te confirmer que la séquence
    title Windows XP
        rootnoverify (hd0,n)
        chainloader +1
    est bien ce qu'il faut mettre...

    Il est fort probable que le problème vienne du fait que les n° des périphériques précisés ne sont pas corrects...

    Avec le fdisk, tu nous fournis la dénomination des périphériques tels qu'ils sont nommés dans linux...
    GRUB se sert de la numérotation du bios...

    Est-ce que tu pourrais nous dire ce que renvoit la commande suivante dans un terminal ?
    su -
    parted /dev/sda print
    De toute évidence, de ce que tu dis précédemment, tu peux déjà corriger les lignes pour obtenir le lancement de XP :-D
    title Windows XP
        rootnoverify (hd0,1)
        chainloader +1
    Que Vista soit sur partition étendue m'étonne un peu...
    Es-tu sûr que ce ne serait pas
    title Windows Vista
        rootnoverify (hd0,2)
        chainloader +1
    Cordialement,
    Stefan
  • Pour ceux qui hésiteraient à faire la mise à jour,
    je signale que de mon côté le kernel 2.6.24.5-85
    a résolu le problème.

    Cordialement,
    Stefan
  • Dans micro
    Bonjour elbelo69
    elbelo69 wrote:De mon coté j'ai un problème un peu semblable.
    Mon micro ne fonctionne pas. Le son en revanche impeccable.
    Dans KMix mon micro n'est pas muet, tout me parait normal !
    Quand je parle dans mon micro, je m'entends dans les enceintes.
    Quand j'appel "Skype test call" l'echo ne me reviens pas !!
    (...)
    J'ai une sound Blaster Live 5.1
    J'ai aussi un controleur AC97 sur la carte mère. Je l'ai désactivé dans le bios mais après l'installation (désolé !)
    Je suis exactement dans la même situation que toi...
    Mon micro ne fonctionne pas dans Krec ni dans Skype alors
    qu'en l'activant dans KMix, je peux m'entendre !

    J'ai exactement la même carte son (et aussi un contrôleur AC97 sur la MB).

    Si tu as trouvé la solution, n'hésite pas à m'en faire part...
    Car j'ai la furieuse impression que je passe à côté de quelque chose 🙁

    edit :
    Autant pour moi...
    Un autre post du forum m'a permis de résoudre le problème :
    http://forums.fedora-fr.org/viewtopic.php?pid=242794&words=


    Cordialement,
    Stefan
  • Salut à Tous,

    Je confirme en effet également le freeze lors du boot après le passage au noyau 2.6.24.4-64
    même en IP statique : je viens de faire l'expérience 🙁

    Heureusement, il suffit de rebooter avec le noyau 2.6.24.3-50 pour avoir à nouveau une machine
    fonctionnelle...
    J'espère que ces problèmes de cartes wifi finiront par se régler.

    Cordialement,
    Stefan
  • Dekkard wrote:Je viens d'installer une Ovislink EVO-W542PCI à base de rt2561 (...)
    - noyau 2.6.24.4-64, freeze au moment de l'obtention de l'IP au boot !!!
    Mon routeur/modem wifi est un Linksys WAG200G
    Salut Dekkard (fan de Diablo ? 😉 )

    Visiblement nous possédons la même carte wifi (enfin, comme dénomination exacte,
    moi j'ai Ovislink EVO-W54PCIv2) ou en tout cas très similaire.

    Par contre, en modem routeur, j'ai un Philips (avec un dessus rouge... j'ai pas la référence
    sous la main).

    Merci pour la remontée d'info, concernant le freeze au moment du boot.
    Cela dit, j'ai une petite question : est-ce que tu utilises le DHCP ?

    Parce que si c'est le cas, je ne serais sans doute pas concerné puisque je suis en IP statique.
    Cela dit, je me souviens avoir fait ce choix parce que j'ai un tout petit réseau... et que j'ai
    constaté que ça me permettant d'avoir la connexion plus vite au boot.

    Très cordialement,
    Stefan
  • Kufaxx wrote:J'Ai un probleme semblable sauf que moi .. j'ai seulement installer fedora 8 après le formatage complet de mon disque dur !! je n'es rien d'autre ..je crois que je me suis mis dans un de ces merdier!! Est-ce les mêmes procédures pour mon cas Ambelliance ou une toute autre démarche a suivre ?
    Ca dépend de la façon dont est partitionné ton disque...
    parted -l
    (en tant que root) pour le savoir.

    De grâce, quand vous installez un OS, ne pensez pas qu'à aujourd'hui...
    et ne le laisser pas occuper tout votre disque !

    Vu la taille des disques actuels, garder une petite dizaine de Go non partitionnés, c'est pas un énorme sacrifice
    et le jour où on en a besoin, ça simplifie rudement la vie !

    Pour plus d'info sur les partitions, voir ici

    Cordialement,
    Stefan
  • Vérification faite, il n'y a sans doute pas moyen d'avoir le mode rescue depuis un live-cd....

    Faut donc booter depuis le dvd d'installation de fedora ou le CD-rescue.
    Tu choisis l'option "Rescue an installed system" ou qqch du genre

    Tu réponds de façon idoine aux question concernant la langue et le clavier 😉

    Puis il va te demander si tu veux activer les interfaces réseau... on s'en f...
    donc tu réponds "non"

    Puis il va proposer le montage du système de fichier, tu choisis "ignorer"...
    parce qu'on ne vas pas monter des partitions qu'on veut supprimer :lol:

    Au bout de l'histoire, tu vas arriver à une ligne d'invite en pur mode console
    (bref l'horreur absolue pour le wind*wsien de base :-D)

    on lance parted en tapant...
    parted

    on fait "print all"
    pour avoir la liste des partitions et les numéros associés

    on fait
    rm numéro
    pour supprimer une partition (et donc toutes les données qu'elles contient :idea:)

    Quand on a terminer, on tape :
    quit
    pour sortir de parted

    On ejecte le dvd d'installation (ou cd-rescue) de fedora
    on met le cd d'installation de windows et on tape :
    reboot

    pour revenir dix ans en arrière (non, je rigole :lol:, j'utilise aussi winXP avec un dual boot) !


    Tu peux trouver toute l'aide que tu souhaites sur parted en tapant :
    man parted ou - mieux - info parted dans un terminal 😉

    Cordialement,
    Stefan