xylphute
"C’est très probable que proton ait flingué quelque chose.
Comment as tu installé protonvpn et comment l’as tu désinstallé?"
–> Via la logithèque Gnome dans les deux cas.
$ dnf list installed | grep -i proton
Repository vivaldi is listed more than once in the configuration
$ ls -ld /usr/lib/python3.*/site-packages/[pP]roton*
ls: impossible d'accéder à '/usr/lib/python3.*/site-packages/[pP]roton*': Aucun fichier ou dossier de ce type
–> A ce stade, j’ai redémarré la machine pour me replacer dans les conditions initiales d’internet inaccessible. (voir ma réponse précédente à Nicosss)
$ nmcli connection show --active
NAME UUID TYPE DEVICE
Connexion filaire 1 27b9beb7-d1fe-3a27-856f-7840e960e95a ethernet eno1
pvpn-ipv6leak-protection 08984aef-1280-4cbe-a0e7-bbdae48797df dummy ipv6leakintrf0
lo d067c3b7-5d4f-4d29-b3ef-bd5ff43b4adf loopback lo
virbr0 2c12183c-e73f-4b2d-b59c-e754fabd48c2 bridge virbr0
"Après cette commande vérifie la présences de connexions pvpn-killswitch, pvpn-ipv6leak-protection et peut-être pvpn-routed-killswitch puis
$ nmcli connection delete [les applis ci-dessus]"
$ nmcli connection delete pvpn-ipv6leak-protection
Connexion « pvpn-ipv6leak-protection » (08984aef-1280-4cbe-a0e7-bbdae48797df) supprimée.
–> Je redémarre pour voir. Et le problème semble bel et bien résolu cette fois !
Mon petit bilan perso de cette mauvaise aventure:
1/ Déjà merci énormément pour votre aide et à Nicosss en particulier qui y a passé énormément de temps un dimanche matin.
2/ J’ai réellement besoin d’un VPN et pas seulement via une extension de navigateur (style Browsec VPN ou Touch VPN).
C’est un besoin ponctuel mais réel. Avec Proton VPN, j’ai pris ce que proposait la logithèque de Gnome/Fedora. Ca me semblait une bonne idée.
3/ VINDICATORs proposait de regarder du côté de wireguard, je ne connais pas cette solution.
4/ Pour éviter de nouveau d’être confronté à ce genre de soucis, j’envisage désormais de dédier une machine virtuelle à ça.
Pb: que ce soit avec VirtualBox ou Machines, je n’ai jamais réussi à installer les addons sur une machine virtuelle sous Linux et configurer un partage de répertoire.
Sous une machine virtuelle Windows, oui, mais pas Linux.
Ce qui limite l’intérêt de la chose pour moi.
5/ J’envisage donc depuis quelques temps déjà d’installer (à terme) une Debian sur un deuxième disque et Proxmox par dessus. (puisque il n’est malheureusement pas possible de le faire sous Fedora)
Pour voir, si j’ arrive mieux à dépatouiller. Ce qui me promet encore bien des aventures à mon avis et beaucoup de temps passé mais bon. Qui ne tente rien n’a rien. (et n’apprend rien non plus)
Pourquoi ne pas dédier une autre machine à Proxmox ? Parce que je n’en ai qu’une et je n’ai pas l’intention d’en acheter une deuxième pour le moment. D’où la solution bancale d’installer une Debian et Proxmox par dessus (à la façon d’un VirtualBox).
–> N’hésitez pas à me donner vos avis persos sur tout ça, ça m’intéresse beaucoup.