Bonsoir, au détour de mes lectures pour résoudre un problème avec un pilote, j'ai découvert deux choses :
- L'utilisation du script rc.local n'est plus possible par défaut, puisque systemd a pris la relève du bon vieux init.
- Pour certaines tâches liées au démarrage, il existait une solution simple (rc.local), qui a été remplacée par une autre plus complexe (pas trop non plus)

Du coup, pour les tâches à lancer au démarrage pas les démons, hein, juste les scripts à la mort moi l'émeu, on se retrouve à devoir réactiver rc.local, du coup pourquoi l'avoir désactivé, ou à recréer son comportenemnt en créant le(s) script(s) utile(s), les fichiers idoines pour gérer les services correspondants et les activer Du coup, sans vouloir troller, vu que je ne comprends pas en quoi pour ce genre de tâche systemd est mieux, j'aimerais que quelqu'un me l'explique Et encore une fois, je le répète, je ne tiens absolument pas à me lancer dans une bataille de pour/contre systemd, je voudrais juste comprendre l'intérêt dans certains cas de figure.
Pour les services de systemd, l'avantage par rapport à rc.local est que les services sont lancés en parallèle, plusieurs services à la fois, alors qu'avec rclocal ils sont lancés les uns après les autres.
Il y a donc une plus grande rapidité au démarrage.
L’inconvénient est que si tu veux te faire un service qui lance un script au démarrage, par exemple, c'est un peu plus compliqué à mettre en oeuvre.
rc.local existe toujours il faut juste penser à activer le rc.local avec systemd.

Rien de bien compliqué quoi il s'appel "rc-local.service"
Pour activer :
systemctl enable nomduservice
Pour le lancer :
systemctl start nomduservice
Exact, c'est toujours aussi simple qu'avant.
Et pour savoir le pourquoi du comment de systemd, je te conseil de lire l'article suivant :
https://linuxfr.org/news/mise-aux-poings-sur-systemd

C'est long, mais permet d'y voir plus claire et mettant de coté des idées reçu qui ont la peau dure comment souvent...


Il y a aussi plusieurs liens sur le site de linuxfr.org, mais j'ai la flemme...