Ils ont pas trouvé plus compliqué
N'importe qui pouvait récupérer un fichier smbpasswd et lancer autour des outils de craquage avec les conséquences que l'on peut imaginer.
Pour l'authentification UNIX (Linux) le fichier /etc/shadow (qui contient réellement le mot de passe) est inaccessible aux utilisateurs non priviligiés, mais si tu laisse une fenêtre ouverte sous root, attention aux risques de craquage (sur une autre machine, ou une batterie de machines).
J'aimais bien mon fichier smbpasswd...
Allez il ne faut pas être trop passéiste.
L'évolution de samba semble être la même que firefox, ... qui utilisent maintenant des fichiers de type db plutôt que des fichiers plats.
Il n'y a pas que des raisons de sécurité, mais aussi des raisons de performances.
Tant que l'on
peut visualiser/exporter ce dont on a besoin, il n'y a pas de problème.
Ce n'est pas toujours le cas avec des automatismes comme le nouvel Xorg qui a la prétention de tout configurer automatiquement dans la plus totale opacité (à part un log illisible).
Ce qui pose des problèmes.
Heldwin wrote:Mais ça vient peut-être du faite que je n'ai connu que pdbedit pour modifier ces données.
Oui mais pour ceux qui ont plus de douze ans d'ancienneté sur samba (sous UNIX IV ou V) , il y a eu énormément d'évolution dans samba et le passage aux «tdb» n'est qu'une des ces évolutions.
je ne pense pas qu'il y ait une différence entre
pdbedit -Lv nom_utilisateur
et
pdbedit -v nom_utilisateur
Exemple :
pdbedit -Lv nom_utilisateur | sum
pdbedit -v nom_utilisateur | sum
donnent le même résultat