valhalla
Salut
A mon avis si tu veux que redhat s'interesse à toi, ton produit doit etre un minimum reconnu. Il doit avoir fait un minimum ses preuves et repondre à un reel besoin.
Avant de vouloir t'attaquer directement a une distrib comme fedora, met tes sources à disposition sur un source forge et attend un peu 😉
Imagine qu'ils doivent evaluer tous les progs developper par des mecs dans leurs coins 😉
Et oui il faut qu'il soit open source. On est pas chez crosoft ici. On a rien a cacher. si?
A+
Sat
bah , les conditions sont:
1. Libre (et pas seulement open source) à 100%, pas de dépendances proprios etc ... , licences compatibles GPL/LGPL ou BSD modifié de préférences.
C'est un pré-requis pour faire partie du core (les softs dans les isos) et des extras. Si ton soft n'est pas libre ne pose pas de problème question redistribution, il pourras faire etre redistribué par les depot tiers comme rpmforge ou le semi-officiel Livna. Et oui, il y a des evals et le parcours est plutot rigoureux.
2. fedora aime bien les projets jeunes mais seulement si il apporte une valeur nouvelle, c.a.d soit il compense une fonctionnalité manquante, soit il remplace un soft dont le dev n'est plus actif, soit qu'il roxor la concurrence (meilleure architecture, dev très actif ..) malgré qu'il lui manque quelques fonctionnalités . Si tu es dans ce cas là, pourquoi pas tenter ta chance sinon fais comme te l'as conseillé Vahlalla et si ton projet devient populaire, il a de bonne chance d'etre packagé et si il remplit les conditions il sera intégré dans un depots tiers ou les extras, puis plus tard, dans la core ( entrée dans la core est très difficile, autant les extras sont dirigés de façon communataire, autant la core est surveillé de près par RH)
3. essayer de l'intégrer à un gros projet comme les desktop manager, si ton soft est developpé en gtk, tu peux essayer de le proposer à Gnome et si il plait il fera partie de la distro, Gnome est plutot friand de nouveau softs, contrairement, il a quelques manques et cherche souvent de nouvelles et meilleures alternatives à l'existant, si c'est accepté, ton soft sera dans toutes les distros majeures sans efforts. Par contre, ça te demanderas pas mal d"efforts suivre les releases, respecter les régles de dev comme les HIG et la façon de coder.
4. la communauté est essentielle pour qu'un logiciel libre marche, certains projets interessants menés par des devs talentueux comme le projet GNU step sont morts ou délaissé parce que peu connu, peu populaire. Soit tu réussit à creer ta propre communauté parce que ton soft plait, soit tu te raccroches à une grosse communauté très dynamique (en ce moment, la communauté Mono/C#) qui t'aidera et fera de la pub à ton projet. Un soft libre qui marche c'est 50% de code bien foutu et bien pensé et 50% de communication et d'organisation. Ubuntu en est un parfait example, ce n'est qu'une Debian bien ficelé et qui n'a fait qu'une release et elle est bien populaire que Fedora qui apporte bien plus qu'Ubuntu grace à la com'.