Hormis certains geeks puristes, nous sommes tous habitués à installer et à utiliser notre distribution fétiche et les logiciels la composant dans la bonne vieille langue de Molière. Il nous parait normal, avec 200 millions de francophones dans le monde et une des communautés locales (si ce n'est la plus) les plus grandes et plus actives, et parfois enviée par le projet, de pouvoir jouir de toutes nos applications quotidiennes dans notre langue natale (ou non).
Or dans ce monde dominé par la langue de "Secoue-le-poirier", nous sommes réduit à devoir traduire ces belles paroles de développeur dans une langue que Tata Jeannine pourra comprendre. Et non, mon bon monsieur, ce ne sont pas des petits chinois nourris au Québécois depuis la plus tendre enfance qui travaillent à la chaîne pour permettre à tout un chacun de consommer du libre dans sa langue, mais bien une bande de fanatiques qui dans chaque communauté libriste prêche la bonne parole dans la langue du peuple. Dans la communauté francophone de Fedora, nous en sommes au même point. Nous appuyant sur l'excellent travaille de nos confrères, nous aussi, comme des moines copistes, nous traduisons avec conviction ce qui forge notre distribution (c'est à dire une cinquantaine d'outils d'administration et autres). Mais ce n'est pas tout, car en plein élan de charité, il nous échoue également la tâche de traduire des outils utilisés par tous tel que Packagekit ou SELinux.
En tant que coordinateur de traduction de Fedora, je m'en remet à vous, fidèle utilisateur de Fedora, dans l'espoir de vous savoir prêt à rejoindre cette aventure magnifique qu'est la traduction. Prêt à vous enroler ? Suivez le guide, c'est par là.
Je vois que vous avez continué à lire, je vous annonce donc fièrement que vous avez été accepté pour être le nouveau petit chinois (sans en avoir la nationalité) de la traduction (non, pas du FBI) prêt à faire un travail ingrat de traduction et de relecture utilisé par tous chaque jour sans même s'en apercevoir, tout en adorant le dieu Transifex et le prophète Glezos. Comme tout travail bénévole forcé, vous aurez un temps complet de travail (c'est-à-dire quand on a le temps) et devrez savoir parler le québécois ainsi que le français des académiciens. Savoir déchiffrer l'anglois est un plus (presque) indispensable, de même que de savoir faire des triples sauts arrière tout en chantant l'hymne Belge .
Il ne reste plus qu'à aller gaiement sur la liste de diffusion, centre névralgique de notre chère secte des traducteurs névrosés. Une fois que vous aurez signé votre contratr, vous ferez enfin partie de la grande famille des grands prêcheurs libristes pour la diffusion et la vénération de la langue française, qui vous accueillera les bras ouverts et vous apprendra le rite d'initiation dont le mode d'emploi est disponible.
En espérant vous voir accéder à la ferveur en grand nombre, parce que plus on est de fous, plus on rit.
Sur ce, je vous salue.
P.S. La consommation de psychotropes est fortement conseillée pour comprendre cette propagande fondamentaliste
Or dans ce monde dominé par la langue de "Secoue-le-poirier", nous sommes réduit à devoir traduire ces belles paroles de développeur dans une langue que Tata Jeannine pourra comprendre. Et non, mon bon monsieur, ce ne sont pas des petits chinois nourris au Québécois depuis la plus tendre enfance qui travaillent à la chaîne pour permettre à tout un chacun de consommer du libre dans sa langue, mais bien une bande de fanatiques qui dans chaque communauté libriste prêche la bonne parole dans la langue du peuple. Dans la communauté francophone de Fedora, nous en sommes au même point. Nous appuyant sur l'excellent travaille de nos confrères, nous aussi, comme des moines copistes, nous traduisons avec conviction ce qui forge notre distribution (c'est à dire une cinquantaine d'outils d'administration et autres). Mais ce n'est pas tout, car en plein élan de charité, il nous échoue également la tâche de traduire des outils utilisés par tous tel que Packagekit ou SELinux.
En tant que coordinateur de traduction de Fedora, je m'en remet à vous, fidèle utilisateur de Fedora, dans l'espoir de vous savoir prêt à rejoindre cette aventure magnifique qu'est la traduction. Prêt à vous enroler ? Suivez le guide, c'est par là.
Je vois que vous avez continué à lire, je vous annonce donc fièrement que vous avez été accepté pour être le nouveau petit chinois (sans en avoir la nationalité) de la traduction (non, pas du FBI) prêt à faire un travail ingrat de traduction et de relecture utilisé par tous chaque jour sans même s'en apercevoir, tout en adorant le dieu Transifex et le prophète Glezos. Comme tout travail bénévole forcé, vous aurez un temps complet de travail (c'est-à-dire quand on a le temps) et devrez savoir parler le québécois ainsi que le français des académiciens. Savoir déchiffrer l'anglois est un plus (presque) indispensable, de même que de savoir faire des triples sauts arrière tout en chantant l'hymne Belge .
Il ne reste plus qu'à aller gaiement sur la liste de diffusion, centre névralgique de notre chère secte des traducteurs névrosés. Une fois que vous aurez signé votre contratr, vous ferez enfin partie de la grande famille des grands prêcheurs libristes pour la diffusion et la vénération de la langue française, qui vous accueillera les bras ouverts et vous apprendra le rite d'initiation dont le mode d'emploi est disponible.
En espérant vous voir accéder à la ferveur en grand nombre, parce que plus on est de fous, plus on rit.
Sur ce, je vous salue.
P.S. La consommation de psychotropes est fortement conseillée pour comprendre cette propagande fondamentaliste